Il a affirmé dans une déclaration rendue publique que la récente hausse des prix des décodeurs obéit à des normes spécifiques pour chaque pays et elle est adaptée aux consommateurs locaux et a démenti l'existence d'un conflit entre son distributeur en Algérie, avec qui il partage les mêmes objectifs et la télévision sportive qatarie.
Mohamed Sebai a également démenti l'existence d'une obligation pour le distributeur algérien de vendre cinq démos beIN Sports par mois et a indiqué que l'objectif de beIN Sports en association avec ses distributeurs algériens, c'est de vendre le maximum de démos et cela sans fixer un seuil ou une limite à atteindre.
Par ailleurs, la direction de communication de beIN Sports demande à tous les médias algériens de vérifier leur information et de ne pas encourager et offrir des espaces aux entreprises qui piratent ses produits.
Car selon le même communiqué, le groupe qatari dénonce les piratages des codes des démos beIN Sports, leur diffusion sur Internet et sur certains sites spécialisés d'une façon illégale. Il conclut en indiquant que la première victime du piratage c'est le consommateur algérien, car beIN Sports est obligé de répondre aux attaques pirates pour protéger ses intérêts et protéger ses clients. Il est clair que cette affaire intervient au moment où les intérêts sportifs qataris sont bousculés. Cette rumeur de conflit entre le distributeur officiel algérien de beIN Sports s'inscrit dans une politique de changement de distributeur.
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