C'est la fin de la récréation pour les médias en marge de la réglementation. Selon le ministre de la Communication, Hamid Grine, l'Arav prend les choses en main.
C'est finalement à l'Autorité de régulation de l'audiovisuel (Arav) qu'échoit le dossier des chaînes de télévision non agréées. Hamid Grine, ministre de la Communication, a annoncé comme imminente la nomination de ses neuf membres... en attendant celle de son président par le chef de l'État Abdelaziz Bouteflika. Faut-il le rappeler ? Le précédent, Miloud Chorfi, est récemment devenu sénateur. De l'avis des observateurs, tout laisse penser que les instructions du Premier ministre vont être appliquées. Le 23 mai dernier, Abdelmalek Sellal était allé dans le sens de la fermeture des médias évoluant en marge de la réglementation. « Maintenant, l'Autorité de régulation va séparer le bon grain de l'ivraie », a en effet indiqué le ministre de la Communication, pour qui « il revient au gouvernement d'agir pour mettre fin au désordre ambiant ».
Le paysage audiovisuel algérien compte une soixantaine de chaînes de télévision privées. Selon l'agence Ecofin, elles ont le « statut de chaîne de droit étranger » pour la plupart et seules cinq sont agréées par les autorités. « Les autres bénéficient de la tolérance », précise l'agence. Dans la ligne de mire des autorités, les chaînes qui font dans le prosélytisme. « Ce sont celles-ci qui sont visées », a précisé le ministre de la Communication. « Pour les autres chaînes non agréées, il sera possible de trouver un terrain d'entente à travers un cahier des charges »,
http://afrique.lepoint.fr/multimedia/algerie-chaines-tv-non-agreees-l-autorite-de-regulation-va-trancher-07-06-2016-2045009_2260.php
C'est finalement à l'Autorité de régulation de l'audiovisuel (Arav) qu'échoit le dossier des chaînes de télévision non agréées. Hamid Grine, ministre de la Communication, a annoncé comme imminente la nomination de ses neuf membres... en attendant celle de son président par le chef de l'État Abdelaziz Bouteflika. Faut-il le rappeler ? Le précédent, Miloud Chorfi, est récemment devenu sénateur. De l'avis des observateurs, tout laisse penser que les instructions du Premier ministre vont être appliquées. Le 23 mai dernier, Abdelmalek Sellal était allé dans le sens de la fermeture des médias évoluant en marge de la réglementation. « Maintenant, l'Autorité de régulation va séparer le bon grain de l'ivraie », a en effet indiqué le ministre de la Communication, pour qui « il revient au gouvernement d'agir pour mettre fin au désordre ambiant ».
Le paysage audiovisuel algérien compte une soixantaine de chaînes de télévision privées. Selon l'agence Ecofin, elles ont le « statut de chaîne de droit étranger » pour la plupart et seules cinq sont agréées par les autorités. « Les autres bénéficient de la tolérance », précise l'agence. Dans la ligne de mire des autorités, les chaînes qui font dans le prosélytisme. « Ce sont celles-ci qui sont visées », a précisé le ministre de la Communication. « Pour les autres chaînes non agréées, il sera possible de trouver un terrain d'entente à travers un cahier des charges »,
http://afrique.lepoint.fr/multimedia/algerie-chaines-tv-non-agreees-l-autorite-de-regulation-va-trancher-07-06-2016-2045009_2260.php
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
bienvenue dans le formulaire de comentaire , laissez votre comentaire et nous allons les revisée
comentaire publicitaire autoris" si vous respectez les droit d'hauteur